Au Sénégal, les jours se suivent et se ressemblent tous...

Au PDS, un autre député quitte le navire, j'allais dire l'épave.

Les clandestins arrivés à bon port ou noyés continuent à faire la une des journaux, sans que parsonne n'aille plus loin que le constat. On continue à confondre le symptome et la maladie...

Un président pas trop démocrate ni fréquentable affirme avoir refilé de l'argent à notre auguste "grand timonier". Un scandale de plus...

Diamacoune se meurt. Pas trop tôt. Peut être faudrait il faire des prières dans les mosquées et un Te Deum à la cathédrale pour être sur que l'on va enfin être débarasser de cet "homme de dieu" qui manie mieux le mensonge et la mauvaise foi que l'évangile et qui, s'il porte un crucifix sur sa soutane porte un révolver en dessous.

Encore une fois le président se débarasse d'un devoir régalien de l'état sur un organisme privé. La protection des enfants des rues, dont l'état est l'ultime protecteur, ne semble pas suffisemment porteur  politiquement pour que l'état prennes ses responsabilités contre le véritable trafic d'êtres humains et l'esclavage subis parces enfants.

Peut être le fait que l'exploiteur soit en général un marabout n'est il pas étranger à cette décision...